Chaque jour qui passe nous rapproche davantage des échéances électorales prévues en 2023. Cependant, évoluants dans les institutions à nos côtés dans le cadre de l’Union sacrée, nos alliés se livrent malheureusement à un double jeu destiné, au niveau interne, à anéantir le leadership de l’UDPS, déplore Tobie Kayumbi, cadre de l’UDPS.
Des questions de gouvernance en passant par celles de développement et celles relatives aux élections, on sait détecter, même sans lunettes, un total désaccord avec nos partenaires sur des matières pourtant déjà réglées, renchérit-il.

Ils doivent tirer les conséquences utiles: soit on est dans l’opposition, soit on est au pouvoir ! Ils doivent être sincères envers eux-mêmes et procéder à leurs choix de manière démocratique et libre. Ici, je m’adresse particulièrement au clan Katumbi qui, malgré leur présence aux institutions, marche à contre-courant avec l’UDPS, le parti présidentiel.
Quoiqu’il arrive, en 2023, nous aurons une très belle communication à porter devant le souverain primaire. Nous leur brosserons de la manière la plus succinte la gouvernance du pays depuis 2019, d’abord sous CACH- FCC et ensuite, l’Union sacrée, avant de leur soumettre un tableau comparatif fiable entre le régime Kabila de triste mémoire et celui de notre régime ayant récolté beaucoup de succès pour la mise en place d’un état sérieux, surtout sur le plan social, diplomatique, militaire et que sais-je encore ?, s’est-il interrogé.
Le peuple se rendra de lui même compte et aura un aperçu global sur toutes les performances réalisées sous le leadership de sem Félix Tshisekedi auquel il sera nécessaire d’offrir non seulement un second mandat en qualité de Président de la République, mais aussi lui accorder sa propre majorité « made UDPS» pour lui éviter les chantages inutiles à l’image de ceux des certains partis politiques ligablo et des politiciens véreux auxquels nous faisons face de jour en jours, conclu Tobie Kayumbi.
À suivre…
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