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Comme vous le savez, les cours et tribunaux de la République démocratique du Congo continuent les traitements minutieux des recours et contentieux électoraux en vue de rendre public les résultats définitifs des législatives nationales et provinciales du 30 décembre 2018.
C’est une procédure de longue à laine qui nécessite beaucoup prudences et de dextérités de la part des juges appelés à traiter ces différents dossiers selon les règles de l’art.
Néanmoins, ayant appris, par les sources proches de la justice, que les dossiers relatifs aux candidats du Rassemblement Kasa-vubu seraient exposées à la manigance de la part du professeur Néhémie Mwilanya, la jeunesse de cette plateforme dirigée par Joseph Olenghankoy est monté au créneau pour dénoncer la mainmise du coordonnateur du Front Commun pour le Congo dans les affaires judiciaires et appeler la justice à faire son travail en toute indépendance.
Le président de cette jeunesse, Justin Kongo parle d’un acharnement qui dépasse tout entendement et accuse le professeur Néhémie Mwilanya de chercher à tout prix de bloquer la validation ou la réhabilitation des candidats du Rassop Kasa-vubu. Un comportement qui viole le principe de l’État de droit prôné par le nouveau pouvoir, martèle Justin Kombo qui annonce également des actions de grande envergure pour résister contre cette énième violation de des articles 150 alinéa 2 et 151 de la constitution qui interdisent toute ingérence de qui que ce soit dans les affaires qui relèvent du pouvoir judiciaire.
» Qui est-il pour chercher à bloquer même l’exécution d’une décision de la Cour constitutionnelle, s’interroge Justin qui révèle aussi que le professeur Néhémie aurait boutiqué un dossier pour empêcher la mise en application d’un arrêt de la Cour constitutionnelle ayant trait à l’un des candidats du Rassop.
Dossier à suivre…
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