Dans un film qui a connu un franc succès dans les années 1990, on voit un homme avec une figure ridée et une bouche élastique écrivasser tout le temps. Le pamphlet dans lequel le Vice-premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières est accusé de s’être emparé d’un lieu d’habitation à la Cité du fleuve, à Kinshasa, n’a-t-il pas été composé par l’homme de ce film ? Car, tout dans ce pamphlet n’est que imagination.
Bon, appelons-le journaliste, même s’il n’en a pas la qualité, malgré ses tâtonnements à la chaîne de télévision Digital Congo. Parce que ce monsieur qui aime s’attribuer la qualité de journaliste, évidemment s’il possédait ou s’il possède réellement cette qualité, aujourd’hui, après des dizaines d’années, il aurait pu être un autre CHARLES MBUYA à TV5Monde ou au niveau d’autres grands médias internationaux. Comprenez que c’est quelqu’un qui n’est pas concerné par ses auto-attributions. D’ailleurs, faut-il le rappeler, l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) ne le considère plus comme journaliste. Et pourtant dans son propre pays. Une mauvaise action de la part de l’UNPC ? Non. Non, parce que l’écartement de ce genre de personnes de la profession journalistique entre dans le cadre de l’assainissement de l’espace médiatique congolais. En effet, le journaliste Claude Pero Luwara n’est pas la première personne à faire ce genre de publications contre une autorité. Ici, comme ailleurs, cette pratique existe bel et bien. L’enjeu est celui de se faire de l’argent. Comment on gagne l’argent quand on publie un pamphlet mensonger ? On est soit payé par les tireurs des ficelles, soit par la personne qu’on a faussement attaquée, lorsque cette dernière sera « lâche » (malheureusement ce n’est pas le cas pour le Vice-premier Ministre, Maître Peter Kazadi, qui ne se sent nullement concerné par ces élucubrations).
La pratique donc de cibler une autorité, la calomnier ensuite pour avoir de quoi nouer les deux bouts du mois, est surtout développée de la manière la plus forte aujourd’hui, grâce aux Nouvelles technologies de l’information et de la communication (N.T.I.C), mieux, grâce à la montée en puissance des réseaux sociaux. Est-ce que sur ce point on a menti ? La réponse est NON.
Devant ce genre de calomnie de Pero Luwara, on se demande si on doit réagir ou laisser passer. En parler le met en valeur, ne rien dire a l’air d’avaler. Si ces attaques étaient faites lorsque Maître Peter Kazadi Kankonde n’était pas encore membre du Gouvernement, on aurait gardé silence, même si la publication dont il est question est de fond en comble montage. Mais ce sont des attaques lancées à la direction d’un Vice-premier Ministre qui n’a même pas fait deux cents (200) jours depuis qu’il a été nommé, un Vice-premier Ministre dont le travail et le comportement sont appréciés chaque jour par plus d’une personne.
Tout le monde aurait aimé voir ce fameux journaliste être par exemple dans la satirique, un peu comme les font librement aujourd’hui plusieurs journalistes depuis l’arrivée du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à la tête de la RDC. Mais, lui, est malheureusement dans un style journalistique dont le nom doit encore être inventé par les savants du domaine de communication. Car, oui, c’est vrai le principe de protection de sa source ou de ses sources d’informations existe. Mais une enquête sérieuse (pour sa crédibilité), ne peut manquer ne serait-ce qu’une source claire. C’est admissible et c’est d’ailleurs d’application. Si Luwara lisait PANAMA PAPERS et l’enquête sur le dossier KAMWINA NSAPU de la grande journaliste Sonia Rolley, pour ne citer que ces enquêtes, il aurait bien compris ce que c’est une ENQUÊTE. À moins que lui-même soit le premier ignorant de ce qu’il fait. Parce qu’on ne peut pas comprendre que, dans un grand dossier comme celui-ci, il n’ait cité aucune source. Partout, dans ses affirmations, Luwara se complaît à balancer aux lecteurs la fameuse et protocolaire formule « SELON DES SOURCES ou DES SOURCES CONCORDANTES ».
Prétendue occupation illégale d’une villa à la Cité du fleuve
Oui, il n’est pas interdit à l’homme de mentir. Mais, à un moment donné, les menteurs devraient être tout de même des personnes animées de bonne foi. Pour quoi mentir jusqu’à faire exister l’inexistence ? C’est faux ! Le Vice-premier Ministre et Ministre de l’Intérieur Peter Kazadi n’a confisqué aucune villa à quelqu’un à la Cité du fleuve. L’auteur de « l’article » n’a pas étalé la moindre vérité. Nous devons l’aider, en élevant le niveau du débat.
La vérité est celle-ci : Le Vice-premier Ministre, Maître Peter Kazadi Kankonde, a acquis légalement une villa à la Cité du fleuve, auprès du propriétaire de cette Cité en plus. Les documents légaux existent. Cependant, cette villa avait été acquise inachevée. Le Vice-premier Ministre l’a réhabilitée avec ses propres moyens, ayant lui-même accepté d’acquérir la villa dans cet état. Il l’occupe, il y a plusieurs années déjà, en payant aussi mensuellement les frais de syndic sans aucune contestation d’une quelconque personne. Mais, curieusement, comme si on attendait qu’il soit nommé pour qu’on puisse ternir son image, évidemment, et après son intégration au Gouvernement, un quidam va sortir de nulle part pour prétendre être le propriétaire de la même villa. Profitant de l’absence du Vice-premier Ministre au pays, cet individu s’est donné le luxe de casser la porte de la villa et d’évacuer tous les biens qui s’y trouvaient. Aux dernières nouvelles, le Vice-premier Ministre Peter Kazadi a déposé une plainte à la Police et au Parquet. L’instruction est d’ailleurs en cours. Une bonne vérité que Pero, haineux de naissance, a été incapable de relater. Lui qui, d’après des informations, vivrait en clandestinité à l’extérieur du pays, raconte des choses qu’il ramasse ici et là, sans confronter ses sources d’informations.
Comme serment et engagement sur l’honneur, Maître Peter Kazadi Kankonde a, dans sa vie, juré qu’il ne prendra jamais un bien appartenant à autrui et il ne le fera jamais jusqu’à la fin de ses jours.
Amour pour l’argent ?
Ce journaliste a déçu plus d’une personne. Il aurait bien fait, s’il avait qualifié une autre personnalité d’une amoureuse de l’argent. Mais pas le Vice-premier Ministre Peter Kazadi ! En tout cas, pas lui ! Mais est-ce que Pero Luwara ne souffrirait-il pas des troubles épileptiques comme d’aucuns l’auraient affirmé ? Tout membre de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), peu importe la situation actuelle de chacun, a eu la chance et le privilège d’avoir bénéficié des valeurs et de la bonne moralité de la part de l’opposant historique congolais, le feu docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba. Il n’y a pas de discussion sur ce point. Tout membre de l’UDPS, partout où il est, c’est un combattant des idéaux. Socialiste, Maître Peter Kazadi est, comme tout autre membre de l’UDPS, l’incarnation de feu docteur Étienne Tshisekedi. C’est ne pas mieux connaître la personne, ou on vous ferait aveuglément gober des choses.
Fainéant de recherches, ce que Luwara doit savoir de Maître Peter Kazadi Kankonde
Ce qui a encore jeté un discrédit sur ses affirmations, c’est le fait qu’il a voulu en outre s’aventurer à minimiser la carrière professionnelle élogieuse et le parcours politique consistant de Maître Peter Kazadi Kankonde.
Toutes les personnes sérieuses savent que Maître Peter Kazadi Kankonde est licencié en Droit de la prestigieuse Université de la RDC, l’Université de Kinshasa (UNIKIN). UNIKIN qui n’est pas fréquentable par des inaptes mentaux comme Pero Luwara. Plusieurs formations professionnelles post-universitaires et plusieurs publications à son actif.
Après ses hautes études, Maître Peter Kazadi Kankonde est admis comme avocat au Barreau de Kinshasa/Gombe (Un Barreau Incorruptible et de la compétence). Il a été dans une centaine de procès, lui qui aimait défendre les faibles.
Pour ce qui est de son parcours politique, il est le combattant de première heure de l’UDPS, c’est-à-dire quelqu’un qui a gravi presque tous les échelons de ce grand parti politique. Il est membre de l’UDPS depuis le 24 avril 1990 à la Cellule de Kingabwa, dans la fédération de Mont-Amba à Kinshasa. Il devient en 2001 chef des Missions dans la section du parti de Lemba/Nord, avant d’être désigné en 2013, au sein de la même fédération de Mont-Amba, comme chef de Département chargé de la Défense et Sécurité.
Très remarqué au regard de sa compétence, l’actuel Vice-premier Ministre et Ministre de l’Intérieur va être approché par lui-même le « Sphinx de Limete », le feu docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba, pour travailler à ses côtés. Après la mort du docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba, c’est le fils de ce dernier, l’actuel Président de la République Félix Tshisekedi, qui a collaboré aussi avec lui de manière étroite au sein de l’UDPS.
Avant d’être nommé Vice-premier Ministre, Maître Peter Kazadi a été député provincial, dans la ville-province de Kinshasa.
Où est la vérité de Pero Luwara ? Pitié ! Véritable coup d’épée dans l’eau !
Fabrice Lukamba