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Il ne fait l’ombre d’aucun doute que l’un des piliers de Félix-Antoine TSHISEKEDI durant son premier mandat demeure un trie méthodique opéré sur des personnes dont la moralité ne peut-être mise en doute. Quoique ce triage doit se poursuivre, le peuple est plus que rassuré d’avoir un personnel capable de lui offrir un travail appréciable à côté de leur chouchou de president, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi.
Parmi les noms qui sautent aux yeux figure en bonne place celui de Jules Alingete Key, chef de service à l’Inspection Générale des Finances, IGF en sigle.
Pour avoir osé indexer ceux qui s’étaient installés dans le confort de la magouille comme dans une activité ordinaire, nombreux ont vite déchanté sentant le danger arriver, non pas de Jules Alingete, mais de la loi, mais aussi grâce à la couverture de Mukua-ntombolo, ayant placé ce service sous sa tutelle directe.
D’un contrôle de routine, Jules Alingete est allé plus loin à travers la patrouille financière. D’aucuns si tôt diront qu’il joue le rôle de »gestionnaire supérieur » des entreprises étatiques. Pas du tout, leur rétorque le chef de service de l’IGF. » Il s’agit d’une prévention contre toute velléité à dénaturer les opérations financières, quelque soit leur taille ».
Cette initiative combien louable a découragé tant soit peu les actes de vandalisme financier qui avaient élu domicile au sein des entreprises publiques. Plusieurs ont abdiqué ayant senti le sérieux qui caractérisait l’homme. Les sages n’ont pas trouvé mieux que de se rapprocher de l’IGF pour obtenir des directives qu’ils ont eux-mêmes qualifiées de précieuses tel le conseil d’administration de la Cobil, géré des mains de maître par son Président du Conseil d’administration Monsieur Thierry Monsenepwo.
Dans la capitale comme à l’intérieur du pays, l’ombre de béton se trouvait en même temps partout, confondue à celle de l’IGF Jules Alingete. Les magouilleurs aux abois, ce fut le début du boom financier dans les recettes publiques de l’État ayant quitté le top habituel 4,5 milliards pour atteindre 15 milliards à la fin du mandat de Félix Tshisekedi : soit un bonus additionnel à hauteur de 10,5 milliards. Il va sans dire que dans les efforts du Chef de l’État Félix-Antoine TSHISEKEDI d’implémenter une nouvelle dynamique dans la gestion de la chose publique, le contrôle demeure un élément essentiel dès lors qu’il permet de limiter les dégâts et, naturellement, de canaliser les ressources des entreprises publiques à bon escient.
Après le contrôle de routine qui revenait à l’Inspection Générale des Finances durant ses trente ans d’existence sans grande performance, Jules Alingete Key a introduit un nouveau concept qui consacre la patrouille financière, à savoir : contrôle à priori, concomitant et à postériori.
Maintenant que le second mandat de Mukua ntombolo s’ouvre officiellement le 20 janvier 2024, quel tour nous réserve encore le chef de la police financière de la République, monsieur Jules Alingete Key ? Ayez votre mal en patience, la réponse est pour bientôt.
En attendant, LIBERTÉ PLUS saisit cette opportunité pour présenter ses vœux les meilleurs de succès, de prospérité et de longévité au chef de service Jules Alingete Key, au chef de service adjoint monsieur ainsi qu’à tout le personnel de cette institution du ministère des finances. Que l’Éternel Dieu vous accompagne dans vos lourdes tâches durant toute cette année 2024.
LIBERTÉ PLUS
