Au niveau de l’Union sacrée de la nation, l’UDPS a adopté la posture d’une église au milieu du village pour éviter les fissures susceptibles de compromettre les bonnes relations qu’entretiennent les leaders des partis politiques de leur plateforme. C’est ce qu’a indiqué le Secrétaire Général de l’UDPS, l’Honorable Augustin Kabuya lors de son intervention sur Top Congo ce mardi, 06 février.
Dans le même ordre d’idées, le SG Augustin KABUYA multiplie les consultations auprès de tous les acteurs ainsi que les délégués des partis politiques membres de l’Union Sacrée chaque fois que c’est nécessaire.
Répondant à une question d’un journaliste, le SG Augustin Kabuya affirme avoir reçu ce mardi dans son bureau le Président de l’AACPG, l’honorable Pius Muabilu et la délégation du PCR. L’objet de leur visite, selon le Chef de l’administration de l’UDPS, consistait à discuter avec lui autour d’une probable cogestion de certaines provinces à travers leurs plateformes. Néanmoins, aucun compromis n’a été trouvé jusqu’ici comme l’a fait remarquer le SG Augustin Kabuya qui les a exhorté, par ailleurs, à lui faire par écrit leurs différentes propositions.
» (…) Nous avons rencontré nos amis de PCR hier. Bien avant de les recevoir, j’avais reçu le président de l’AACPG, l’Honorable Pius Muabilu. Les amis de PCR m’ont fait savoir qu’ils voulaient entrer en contact avec moi pour voir de quelle manière nous allons co-gérer certaines provinces. Ce sont les mêmes propositions que l’honorable Pius Mwabilu et l’honorable Modeste Bahati m’avaient aussi formulées », a indiqué l’élu de Mont-Amba, l’honorable Augustin Kabuya.
Et de poursuivre : » À mon tour, j’ai demandé aux amis du PCR de me présenter leur tableau des propositions. Ils m’ont, cependant, promis qu’ils vont revenir vers moi plus tard.
À propos de l’incident verbal survenu entre le Président de la chambre basse, Christophe Maboso et celui de la chambre Haute du Parlement, Modeste Bahati, le Chef de l’exécutif du parti présidentiel a souligné que l’orage est totalement passé et appartient désormais au passé.
Liberté PLUS