RSA: Ramaphosa, faux Président ; un potiche plus que même Macron

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La bonne image internationale de la nation arc-en-ciel, l’Afrique du Sud de Nelson Mandela, est en train de s’effondrer au jour le jour à cause de la montée en puissance des actes de criminalité à outrance contre les étrangers ou ceux qui ont choisi le pays de Madima comme seconde nation.
Face à cette tragédie, les autorités sud-africaines, principalement le président de la République, monsieur Cyril Ramaphosa, s’illustrent dans une lethargie suspecte qui frise, si besoin en était, soit leur complicité dans cette criminalité bien orchestrée ou soit leur incapacité à gérer correctement la République sud-africain ( RSA).
Tout ça c’est parce que Ramaphosa et son entourage se sont inscrits dans la continuité négative qui voudrait que la voie de la masse, même mauvaise, dirige le pays; Les combattants de l’ANC se comportent comme bon leur semble et font la loi. Ce qui n’est pas le cas avec l’UDPS en RDC, un grand parti de masse, mais où l’exécutif du parti donne très souvent des orientations politiques et des mots d’ordre respectés par les combattants et Combattantes. Le cas de la coalition FCC-CACH en dit long sur la capacité des autorités de l’UDPS à ramener les militants de leur parti à la raison quand c’est nécessaire.
Mais, comment Ramaphosa pouvait-il accepter de rester silencieux depuis le 01 septembre, date à laquelle ces criminels sud-africains ont refait leurs bêtises contre les étrangers. C’est à peine qu’on pouvait écouter sa voix très minime dans certains médias, ce mardi, pour faire, comme d’habitude, des simples déclarations de condamnation autour de la tragédie.
À cause de cette situation bouleversante, l’ambassade de la RDC a été temporairement fermée depuis hier, tandis que les président de la RDC, du Rwanda et du Malawi, selon des sources dignes de foi, ont annulé leur participation au forum économique mondial de Cap Tawn. Quant à la Zambie, elle a annulé un match de football avec l’Afrique du Sud.
Ces sanctions marquent le début de l’isolement diplomatique de cette nation considérée jadis comme le poumon de la puissance économique et militaire de la SADC.
Quoi de plus normal d’identifier Cyril Ramaphosa comme un véritable potiche plus que même Emmanuel Macron de la France qui, dernièrement, avait validé le transfert de certains français djihadistes vers l’Irak pour que ces derniers y soient condamnés à mort.
À suivre…
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