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Il s’agit d’une démarche qui vise à commémorer les martyrs de l’UDPS depuis pratiquement sa création, en mettant un accent particulier sur les récentes atrocités, notamment celles du 26 novembre 2011, date à laquelle les membres de l’UDPS ont été exécutés sommairement par les militaires sous le commandement du régime antérieure, alors qu’ils célébraient pacifiquement le retour d’Étienne Tshisekedi à l’occasion de la clôture de la campagne électorale de 2011. Les enterrements en bloc des combattants dans les fosses communes de Maluku sont aussi concernés.
Pour ce faire, l’homme de 70% avait reçu le Jeudi, 20 Août dernier, dans son bureau de travail, un certain nombre des familles des victimes de la marche historique de l’UDPS du 19 et 20 septembre 2016 pour avoir un plus des renseignements autour de leurs proches qui ont été abattus ce jour-là.
« Les consultations et les enregistrements des familles des victimes vont se poursuivre jusqu’à la fixation de la date de l’organisation de la journée porte ouverte», a indiqué le SG de l’UDPS avant de poursuivre en ce sens: « Pour bien réussir cette démarche, des instructions claires ont été données aux responsables de la base pour qu’ils enregistrent tous les dossiers des martyrs de l’UDPS tués par les différents régimes ayant précédé l’actuel pouvoir».
Il sied de rappeler que c’est depuis près deux semaines que le numéro 2 du parti présidentiel ne cesse d’évoquer la tenue de cette activité pour honorer la mémoire des Combattants et Combattantes qui ont péri parce que ceux qui avaient le pouvoir avaient décider arbitrairemen de mettre fin à leurs vies.
L’ouverture de ces consultations marque donc sa ferme volonté de compatir avec les familles des victimes.
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