La politique managériale imprimée par le Directeur général de la Société minière de Kilo Moto, (SOKIMO) Pistis Bonongo Tokole commence a porté ses fruits. Elle s’est récemment matérialisée par l’inauguration le jeudi, 2 mai de l’unité de production industrielle de SOKIMO à Nizi, située à 30 kilomètre de la ville de Bunia.
La relance des activités minières de SOKIMO de Nizi est rendue possible grâce à l’acquisition des nouveaux engins d’exploitation des minerais, initiée par le DG Pistis Bonongo Tokole, susceptible de permettre à cette usine minière étatique de produire son tout premier lingot d’or.
» C’est un grand jour pour la SOKIMO. La réception du premier lot des engins miniers nouvellement acquis pour l’usine de production moderne, dont une partie est construite par le nouveau comité de gestion auquel nous sommes membres. L’autre partie existante était dans un état de délabrement très avancé, et nous avions procédé à sa réhabilitation, en plus de la réception du laboratoire chimique « , a-t-il fait savoir à la presse.
Grâce à l’implication du DG Pistis Bonongo Tokole, 7 nouveaux bâtiments pouvant abriter l’usine de traitement d’or ont été refectionnés. Ce projet va générer de l’emploi pour de nombreux jeunes ituriens, a rassuré le patron de la SOKIMO.
Quoiqu’il en soit, la SOKIMO a besoin d’un accompagnement du gouvernement central pour sa relance. D’où, cet appel pressant de Pistis Bonongo Tokole à la première ministre et au prochain gouvernement.
» Nous avions lancé ce projet il y a une année passée. Actuellement, nous sommes butés à un problème lié aux intrants chimiques pour la production d’un premier lingot d’or qui sera chose faite dans les touts prochains jours. La SOKIMO attend du nouveau gouvernement l’accompagnement de son projet de relance strategique mis en place en 2022″, a lancé Pistis Tokole Bonongo.
La relance des activités à l’usine de SOKIMO de Nizi entre dans le cadre de la vision du chef de l’état, Félix Antoine Tshisekedi qui compte également sur cette entreprise pour la maximisation des recettes de l’État.
Murphy Fika/Liberté PLUS