Âgée de 47 ans, la combattante Monique Kitoko, Secrétaire Nationale Adjointe de l’UDPS au département de la Communication et Initiatrice de la Fondation Félix-Antoine Tshisekedi (FOFAT), s’est éteinte brusquement, le 05 juin, à son lieu de travail à l’Assemblée nationale.
Difficile d’accepter aussi facilement une telle disparition d’un être si chère ayant fait ses preuves dans le combat de la démocratie, les voix s’élèvent de partout pour demander des examens d’autopsie afin d’en savoir un peu plus sur cette mort soudaine.
Interrogé à ce sujet par LIBERTÉ PLUS, Symphorien Ntumba Mutombo, Secrétaire exécutif national et Chef du Département de la Communication et NTIC de la ligue des jeunes de l’UDPS-TSHISEKEDI a indiqué ce qui suit :
» La mort est certaine mais le jour de la mort est incertain. Ceux qui réclament l’autopsie pour feu Monique Kitoko n’ont pas tort. Car, nous sommes en démocratie. Mais il faut savoir que l’exécution d’une telle option dépendra de sa famille biologique, sa famille politique UDPS et pourquoi pas l’Assemblée nationale qui constitue sa famille administrative ou professionnelle. Ces dernières doivent discuter pour parvenir à une meilleure conclusion ».
En ce qui concerne la qualité des relations entre le parti et la famille biologique, Symphorien Ntumba qui éprouve une grande tristesse et amertume pour la disparition de cette grande combattante, révèle que les pourparlers ont déjà débuté entre les deux parties.
» J’ai reçu l’ordre du Secrétaire Général de l’UDPS, en l’occurrence son Excellence Augustin Kabuya qui m’a donné le mot d’ordre d’aller à la famille de la défunte. Nous avons discuté très positivement et la suite, vous l’aurez… »
Hervé Mulumba