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Depuis plus de 30 ans, Paul Kagame et Yoweri Museveni orchestrent une agression contre la République démocratique du Congo (RDC), causant la mort de plus de 10 millions de personnes et autant de déplacés. Pour masquer leurs intentions et donner une apparence congolaise à leur entreprise criminelle, ils ont toujours recours à des marionnettes locales.
Le dernier exemple en date est l’enrôlement au côté du M23 de Corneille Nangaa, ancien président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), ainsi que de certaines figures du PPRD (le parti de l’ancien Président congolais Joseph Kabila). Parmi ces figures, on compte d’abord Adam Chalwe, un ancien cadre de la jeunesse de ce parti, puis Henri Magie, lui aussi membre du PPRD, et bien d’autres. Ainsi, Corneille Nangaa a été placé à la tête d’une des succursales de l’entreprise sanguinaire rwando-ougandaise d’agression en RDC.
Ce fait n’est pas nouveau : sur plus de 30 ans de pillages en RDC, plusieurs mouvements et succursales ont été créés, notamment l’AFDL, le RCD, le RCD-K, RCD-Goma, le CNDP, le M23, le Twhiraneho, et aujourd’hui l’AFC, avec Nangaa à sa tête. Comme lui, plusieurs congolais ont servi de marionnettes, parmi lesquels Wamba dia Wamba, Laurent Désiré Kabila, Masasu, Délly Sessanga, Émile Ilunga et bien d’autres.
L’objectif est clair : utiliser ces congolais comme façade pour masquer la vraie identité et nature de cette agression, elle est rwando-ougandaise, et a pour objectif le pillage systématique des ressources naturelles congolaises.
Si Kagame est la figure de proue de l’agression sanguinaire contre la RDC, Youweri Museveni, président de l’Ouganda, est le co-PDG dans l’ombre. Bien qu’il ait récemment cherché à se faire discret, son implication dans l’agression ne fait aucun doute. Son fils, le général Muhoozi Kainerugaba, a toujours exprimé son soutien au M23, ainsi qu’à son idole Paul Kagame.
Et, dès le début de l’invasion rwandaise en RDC, à travers leur mouvement le AFDL, avec le congolais Laurent Désiré Kabila comme façade, Youweri Museveni était déjà à la table de décision.
Ce dernier a feint de se retirer de son entreprise sanguinaire avec Kagame après l’accession au pouvoir du Président Félix Antoine Tshisekedi. Mais les renseignements congolais et les fuites du dernier rapport de l’ONU confirment que l’Ouganda n’a jamais cessé de prêter main-forte aux terroristes du M23.
L’agression contre la République Démocratique du Congo ne cache qu’un seul objectif : le pillage de ses ressources naturelles. Le Président Félix Antoine Tshisekedi est résolu à mettre fin à cette agression qui perdure depuis plus de 30 ans. Pour ce faire, il renforce continuellement l’armée nationale, qui, depuis son accession au pouvoir, connaît une montée en puissance vertigineuse. En collaboration avec les Wazalendo et les éléments de la force du SADC, les forces congolaises progressent sur le terrain, repoussant l’ennemi à chaque offensive.
En parallèle, Kinshasa a ouvert un front juridique en portant plainte contre Apple, l’une des grandes entreprises qui exploitent les minerais congolais dans la conception de ses produits technologiques. Cette dynamique offensive mise en place par le Président Félix Antoine Tshisekedi sonne le glas de l’entreprise sanguinaire rwando-ougandaise et de leurs co-PDG, j’ai nommé Yoweri Museveni et Paul Kagame.
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