Dans un tweet diffusé ce lundi, 1er mai, à l’occasion de la fête de travail, Jules Alingete, chef de service de l’Inspection Générale des Finances exhorte les travailleurs congolais à œuvrer avec patriotisme pour découvrir plus tard, parlant de la RDC, le bonheur d’appartenir à une nation bénie par Dieu.
Cette déclaration magistrale démontre à quel point monsieur Alingete aime bien son travail mais aussi son pays et tient à répandre ses convictions à tous ses compatriotes pour disposer au plus haut point d’une conscience nationale en vue de parer à toutes sortes de sollicitations qui guettent notre pays visant à le déstabiliser avec l’objectif de le balkaniser.
Pour ce faire, il demande à quiconque de travailler avec patriotisme, quelque soit le secteur ou la nature du travail qu’on exerce, pourvu qu’il concourt au développement du pays et au bien être national.
Cette interpellation s’adresse spécialement à quelques uns parmi nous qui se sont distingués dans le bradage de nos ressources, dans la dilapidation des fonds et des biens de l’État. Car, au bout du compte, c’est le pays qui en pati, avec des conséquences parfois insoupçonnées entre autres la fragilisation de l’État face à ses ennemis tant externes qu’internes.
Jules Alingete insiste sur la nature intrinsèque de cette nation nous léguée par nos ancêtres que nous ne pouvons tronquer contre un autre où l’abandonner au profit des tiers auprès de qui elle suscite envie et jalousie. » Un véritable trésor qui attire des convoitises ».
Ainsi, »seul le travail énoblit, comme on le dit, peut on conclure de cette affirmation. C’est alors seulement que nous découvrirons plus tard le bonheur, le bienfondé d’appartenir à une nation bénie », affirme Jules Alingete.
C’est dire qu’il y a ici une notion de Dieu ainsi que celle de la destinée. En d’autre termes, le Congo demeure cette nation qui dispose des biens qui attirent, des richesses qu’on ne peut pas trouver partout à la fois et qui constituent une caractéristique de la main de Dieu et même, pourquoi pas, de la présence de Dieu sur notre terre.
En outre, recommande-t-il, s’abstenir de vendre le pays tel que certains compatriotes n’hésitent de déclarer à la face du monde leur désir de vendre le Congo et d’en partager les dividendes. Ils ne se demandent pas où est-ce qu’ils iront, tandis que le sort de tout un peuple serait réduit à être des apatrides ? Ce serait simplement rendre obsolète cette phrase très significative dans notre hymne national qui dit: »peuple uni par le sort » qu’il faut absolument préserver.
Mais, vendre aussi son pays dans la pensée de Jules Alingete c’est surtout manquer la conscience dans le travail, c’est brader son économie, c’est perdre ce qu’on a de commun: notre terre chérie, la RDC.
Liberté Plus